C’est en lisant un magazine sur la santé, pendant mes vacances, il y a 2 ans, que je suis tombé sur un article consacré à la spiruline. Comme je vous l’ai déjà écrit, je ne suis pas spécialement un accro de tout ce qui est vert et naturel. Et pourtant ! C’est peut-être la chouette consonance du mot qui m’a donné envie d’aller plus loin dans l’article.
Bref, le papier était super élogieux au sujet de cette micro-algue bourrée de protéines et de fer. Parmi ces vertus, je lis qu’il s’agirait d’une sorte de produit dopant naturel pour les gens qui pratiquent pas mal de sport. Je sortais justement d’une immobilisation de mon poignet (6 semaines de plâtre), suite à une fragilité chronique de la gaine d’un tendon. Le fait de jouer régulièrement au tennis m’occasionnait, depuis quelques années, des bobos assez récurrents. Rien de très grave, mais toujours un peu pénible d’attendre que tout guérisse avant de relancer la machine.
Et donc, je me suis lancé dans une cure de ce complément alimentaire devenu très tendance depuis lors (parfois décrié aussi et considéré comme inefficace). Les détails sur la posologie sont expliqués clairement au magasin bio qui les fournit. Petite parenthèse, c’est pas gratos comme complément. C’est un petit investissement mais, à mon sens, ça vaut le coup.
Depuis que je m’y suis mis, j’ai toujours enchainé les cures régulièrement. Soyons clair, je ne sais pas si c’est dans la tête ou pas, mais toujours est-il que je n’ai plus jamais eu de grosses blessures, musculaires ou articulaires. Autres constats (subjectifs peut-être) : je me sens plus résistant dans les longues parties de tennis et ma masse musculaire s’est développée aussi. On s’entend bien, pas comme un bodybuildeur, mais j’ai l’impression d’être plus « solide ».
J’en ai parlé récemment à un partenaire de tennis qui a des soucis récurrents aux adducteurs. Il me disait que son kiné lui en avait justement touché un mot, et qu’il lui avait recommandé de faire une cure. Il faut un peu de temps avant de sentir les effets bénéfiques, je lui en reparlerai d’ici quelques mois pour qu’il me donne son feedback. J’ai aussi réussi à convaincre mon épouse, qui n’est pas une grande mangeuse de viande. Elle en a fait son allié culinaire dans pas mal de recettes. Elle la consomme sous forme de poudre.
